BRIGITTE REPREND L'ANTENNE -S2 Ep03
- INTRODUCTION
- Au programme de ce mardi, Brigitte reçoit Sandrine Sebbane-tordjmann pour la Campagne nationale pour la Tsedaka FSJU, Patricia Teitelbaum pour la conférence "Israel : Visages de la diversité", le FOZ - Friends of Zion Museum, Laurent Nys pour la nuit de Mabru - Marché Matinal de Bruxelles / Vroegmarkt van Brussel, Valérie Boucher pour les 15 ans de Art'Contest asbl... Nicolas Roisin nous parlera des sorties cinéma de la semaine et de notre héros de bande dessinée Belge préféré : Tintin. Irit Daniel est ce soir accompagnée de Michel De Warzée pour nous parler de "l'éducation de Rita" au Théâtre de la Valette. Sarah Halfin pour invitera à lire. Et à relire! On terminera sur une petite note gourmande avec Jessica Bendavid qui nous parlera de la marque Belge de bonbon Yolloh. On se retrouve à 18h30 sur RadioJudaica ou 90.2 fm
- Shoah Project
- Conférence Filigranes Ginette Kolinka
- Agenda to book, Mega Challa Bake c'est le 17 novembre!
- INVITE : PATRICIA TEITELBAUM
- L’association les «Amis Belges d’Israël» a pour vocation de mieux faire connaître Israël en Belgique. Israël est souvent calomnié et de nombreuses contre-vérités sont énoncées à son égard. Notre objectif est d’interpeller les médias et les politiciens afin de rétablir la vérité des faits. Nous désirons construire des ponts de compréhension et établir une coexistence harmonieuse entre les différentes cultures plutôt que d’importer les problèmes du Moyen-Orient en Belgique. A cet effet, nous organisons une première activité qui aura lieu le 24 septembre à 19h30 à la Bibliothèque Royale de Belgique. Il s'agit d'une conférence au cours de laquelle quatre Israéliens d’origines différentes témoigneront de leur vécu et de la cohabitation en Israël. Nos orateurs sont: * Sara Zoabi, musulmane arabe qui vit à Afula, ville judéo-arabe au nord d’Israël * Shadi Khaloul, maronite chrétien vivant à la frontière libanaise * Ilana Hoffman, jeune mère juive de Jérusalem * Riad Hassoun, ancien leader du Conseil de la communauté druze du Mont Carmel Pour des raisons sécuritaires les tickets pour la conférence sont en vente sur www.bfoi.eventbrite.com Merci de reprendre contact avec moi au 0471 649 020 Cordiales salutations Pat Teitelbaum
- FOZ
- Le Musée des Amis de Sion rend hommage au général français Marie Pierre Koenig « Le Musée des Amis de Sion est la plus grande organisation pro-israélienne qui travaille avec les dirigeants du monde entier pour lutter contre le mouvement BDS et créer une nouvelle génération de sympathisants d’Israël. » Mike Evans, fondateur du musée des Amis de Sion Le musée des Amis de Sion, qui a ouvert ses portes à Jérusalem il y a quatre ans, est devenu une attraction touristique très fréquentée par des centaines de milliers de touristes et de familles d’Israël et de l’étranger, et il a déjà réussi à attirer de nombreux sympathisants. Le musée, qui est entièrement de facture israélienne, raconte l’histoire passionnante d’amis d’Israël qui, au cours des quelques dernières centaines d’années, ont apporté leur soutien au peuple juif, ont renforcé l’idée de créer l’État et même risqué leur vie pour la protection des Juifs en diaspora. Depuis le début, le musée s'est fixé pour objectif de renforcer les relations entre Israël et le reste du monde et d'élargir le cercle d'amis qui le soutiennent. Aux côtés de nombreux visiteurs chaque année, on compte d’éminents dirigeants et personnes influentes d’Israël et de l’étranger.
- Actuellement, le conseil d'administration international du Musée est présidé par le Dr Mike Evans, activiste sioniste et auteur à succès pour le New York Times. Il succède dans ces fonctions à feu Shimon Peres, le neuvième président de l’Etat d’Israël. Il exprime l’importance des amis d’Israël au long des générations : « Nous sommes reconnaissants à tous ceux qui ont participé au miracle et parmi eux les amis d’Israël. Rien n’est plus puissant que la volonté d’amitié entre les hommes. » Un des amis d’Israël dans le monde perpétué par le musée des Amis de Sion est Marie Pierre Koenig, officier et homme politique français. Koenig, un officier célèbre de l'armée française pendant la Seconde Guerre mondiale, a commandé et dirigé ses troupes sur divers fronts pendant la guerre, comme le front norvégien destiné à endiguer l'avancée de l'Allemagne nazie dans l'occupation de la Norvège, ainsi que des fronts en Syrie, au Liban et en Égypte.
- A partir de 1940, les forces françaises libres combattaient les Allemands aussi hors des frontières françaises. C’est ainsi que Koenig fut promu au grade de général et prit le commandement la 1ère Brigade française en Libye au printemps 1941. Koenig était à la tête de 3 700 combattants à la bataille de Bir Hakim, dans une zone fortifiée sur l'aile sud de la ligne de défense alliée dans le désert de Libye, appelée ligne Gazala. Le refus de Koenig de se retirer de cette zone a ralenti l'attaque allemande, donnant aux britanniques un temps vital pour battre en retraite de manière ordonnée et établir une nouvelle ligne de défense. La brigade française combattit pendant 16 jours contre les Italiens, et surtout contre les Allemands. Les Allemands avaient envoyé cinq divisions face à la seule brigade de Koenig, soit un rapport de forces de 1:10 - et elles avaient même encerclé les forces françaises. Koenig commanda une attaque qui réussit à créer une fissure dans l’encerclement des allemands, ce qui permit à ses troupes de battre en retraite de manière ordonnée, avec leurs équipements. Pendant la retraite du combat pour le commandement d'El Abid, le major Moshe Liebman, qui commandait la brigade juive, rapporta au général Koenig que 75 % des soldats de la brigade juive avaient été blessés ou tués. Bien que les soldats de la brigade aient été vaincus dans les combats acharnés, Koenig apprécia leur courage et leur contribution. Koenig ordonna aux soldats juifs de lever leur drapeau fièrement, puis il se leva et salua le drapeau. Koenig ne s'est pas contenté de cela et il ordonna que le drapeau soit attaché à son véhicule de commandement - et il ordonna à ses soldats de saluer le drapeau juif, avant même qu'il ne soit choisi comme drapeau officiel de l'État d'Israël. Koenig a été le premier officier étranger à saluer le drapeau israélien, exprimant ainsi son amitié avec le peuple juif.
- IRIT DANIEL
- Le musée des Amis de Sion est un musée interactif unique de son genre en Israël, qui a ouvert ses portes il y a environ 4 ans au cœur de Jérusalem. Le musée présente un fascinant voyage dans le temps, pour parcourir l’histoire des amis d’Israël au long des générations et le lien qui se renforce d’année en année entre différents peuples et les juifs du monde entier. Le musée contient des expositions et des présentations créées dans les technologies les plus avancées au monde, spécialement développées pour lui (son établissement et le travail au musée sont entièrement de facture israélienne), notamment des écrans tactiles, des éléments de lumière sonique et des technologies lumineuses dirigées par les mouvements des visiteurs.
- En outre, dans la même galerie où l'histoire de Koenig, intitulée « Les braves », est projeté un hommage à la France, une amie fidèle d'Israël, qui a exprimé sa reconnaissance de la mise en œuvre du plan de partage de 1947 et de la création de l'État d'Israël. Le Dr Mike Evans, fondateur du musée des amis de Sion, affirme : « Le musée des amis de Sion est la plus grande organisation pro-israélienne qui travaille avec les dirigeants du monde entier pour combattre le mouvement BDS et créer une nouvelle génération de partisans d'Israël. » Il ajoute : « A cause de l'importance de la reconnaissance pour le soutien à Israël est né « le Prix des amis de Sion », que le Musée attribue aux dirigeants du monde entier qui ont œuvré en faveur du peuple juif et de l'État d'Israël. » Certains des lauréats du Prix des amis de Sion sont : le président des Etats-Unis Donald Trump, le président de Guatemala Jimmy Morales, le président du Brésil Jair Bolsanoro et l'ancien président des Etats-Unis George W. Bush, l'ancien président du Paraguay Horatio Cartes, le prince de Monaco Albert II, le président de Bulgarie Rosen Plevneliev, l'ambassadeur des États-Unis en Israël David Friedman, le conseiller en négociations internationales et l'envoyé des États-Unis au Moyen-Orient, Jason Greenblatt, et le conseiller principal du président Jared Kushnir, et ils ont récemment également reçu le prix des philanthropes pro-israélien Sheldon et Miriam Adelson. A propos du musée des amis de Sion
- L'éducation de Rita" de Willy Russel Avec Stéphanie Moriau et Michel de Warzée Mise en scène de Michel Wright Du 26 septembre au 13 octobre - tous les jeudis, vendredi et samedis à 20h30 à la Valette, rue Basse 11 - 1460 Ittre - www.lavalette.be Le pitch? Rita, jeune coiffeuse a décidé de changer. Pas seulement de tête ni de mise en pli mais surtout de vie! Changer de l’intérieur. Elle veut apprendre, elle veut étudier, se cultiver. À l’Université pour tous, elle suit les cours de Franck, professeur de littérature rongé par les échecs et l’alcool et pas du tout disposé à prendre en charge l’éducation de Rita. Avec une volonté inépuisable et un culot désarmant, elle débroussaille peu à peu son ignorance, se taille une culture sur mesure, jusqu’à affiner sa pensée et, finalement, se trouver. Mais sera-t-elle la seule à changer? Son ascension intellectuelle n’est pas au goût du maître… Telle Pygmalion, la créature transforme le créateur… La culture comme moyen d’émancipation. L’éducation comme moyen de transformation. Rencontre explosive épicée d’humour anglais où se mêlent poésie, émotion, littérature et situations irrésistibles !
- INVITE: Michel de Warzée est un directeur de la Comédie Claude Volter depuis 2004, professeur au Conservatoire, comédien et metteur en scène Son fils Jérôme, né en 1970, est un humoriste de one-man-show et animateur radio et télé. Questions: Q1: de quoi parle cette pièce? Q2: comment lié ce thème à l’actualité? Q3: pouvez-vous nous parler du theatre de la Valette? 27 saisons - Directeur artistique Pierre Pigeolet après Léonil McCormick Q4: vous êtes directeur de la Comédie Claude Volter. Quelques points forts de cette saison?
- Agenda – 3 spectacles 1. Madame Rosa – espace Magh – 25/9 au 5/10 D’après La vie devant soi de Romain Gary (Emile Ajar), Rachid Benbouchta C’est l’histoire de Madame Rosa, la rescapée d’Auschwitz, ancienne prostituée et gardienne d’enfants Et c’est l’histoire de Mohammed de Belleville, appelé Momo, l’enfant né de mère inconnue. 2. La mécanique du Hasard – 8 et 9 octobre – Centre Culturel d’Uccle Conte initiatique mis en scène avec beacuoup d’inventivité au plateau. Un théâtre de récit et d’objet pour deux acteurs et un frigo à ne pas manquer. La mécanique du hasard est une rocambolesque histoire de transmission inter-générationelle, conduite à un rythme effréné. Elle nous embarque au milieu du désert texan pour suivre Stanley Yelnats, un ado envoyé en camp de redressement pour creuser des trous au fond d’un lac asséché.
- 3. La machine de Turing – theatre Jean Vilar – du 15/10 au 19/10 Récompensée par 4 Molières, la pièce dévoile l’incroyable destin de celui qui a brisé le langage codé généré par l’Enigma des nazis, contribuant à sauver de nombreuses vies. Un fait d’armes qui n’a pas empêché la justice de Sa Majesté de condamner le scientifique à cause de son homosexualité. Un récit passionnant.
- LAURENT NYS
- Mabru est l’asbl créée en 1992, chargée de promouvoir, de développer et gérer les activités du Marché Matinal de Bruxelles, destinées à favoriser la bonne organisation d’opérations commerciales relatives à la vente en gros de produits agroalimentaires, à destination des professionnels. Quai des usines 22-23, 1000 région de Bruxelles 022155169 www.mabru.be
- VALERIE BOUCHER : ART CONTEST 2019
- Valerie nous parle de la 15eme édition de l’art contest
- SARAH HALFIN : LIRE LE MEME LIVRE 2 FOIS
- 13. « Lire un même livre deux fois » - Chronique Ce weekend, j’ai posé un acte militant. Accrochez-vous bien. J’ai lu deux fois le même livre. Ou plutôt j’ai relu un livre que j’avais déjà lu. En dehors des amateurs de Camus et de Proust, ça a suscité 2 types de réactions autour de moi : il y a les « ben dis donc, t’as le temps toi (hein) » et les « pourquoi, tu connaissais déjà l’histoire, non ? ».
- Certes, face à ce livre dont je connaissais déjà l’histoire, les 524 romans de la rentrée littéraire 2019, les lauréats des prix littéraires des années précédentes pas encore ouverts (Goncourt, Renaudot, Femina, Interallié, Prix Médicis, Prix de l'Académie française, … Prix Filigranes), auxquels s’ajoutent bien sûr tous les livres recommandés par Christine cet été. Face à ce livre dont je connaissais déjà l’histoire, les films de la rentrée. En ce moment à l’écran, la Palme d’Or du festival de Cannes, « Parasite » (et pour le coup, courez-y), mais aussi de nombreux autres films présentés au festival, dans la sélection officielle, la catégorie « un Certain Regard », la catégorie « la Quinzaine des Réalisateurs », et j’en passe… Et dépêchons dépêchons car juste après arrivent ceux des festivals de Venise, Berlin, Toronto, Sundance. Et puis y a le nouveau Klapish bien sûr, un bon feel good movie pour équilibrer le tout.
- Face à ce livre dont je connaissais déjà l’histoire, LA nouvelle série à voir absolument sur Netflix en ce moment, ainsi que celle de MyCanal, Amazon, Google, Facebook (oui ils s’y sont mis aussi), You Tube, BeTv, Proximus. Face à ce livre dont je connaissais déjà l’histoire, une nouvelle tendance, plus audio que visuelle, et je m’arrête là, les podcasts. Et avec tout ça, moi, j’aurais consacré du temps à relire un livre que j’avais déjà lu ? Parlons-en du temps tiens. De temps parle-t-on ici ? Du temps qui se mesure avec une montre. Qui se divise en 24h par journée et pas une heure à perdre.Oui
- Mais quid de l’autre temps ? Vous savez, « celui que l’on ressent, dans toute sa subjectivité… Celui du monde sensible et psychologique », que l’on passe dans son imaginaire. « Celui des artistes, des amoureux et des mystiques », pour reprendre les termes de Jean-Marc Bastière dans son livre sur … bingo … le temps*. Dans ce temps qui semble constitué d’infinis présents, que l’on connaît et reconnaît si peu par les temps qui courent, il est impossible jamais de perdre son temps. C’est le temps que tu souhaites pour tes enfants. C’est le temps que tu te souhaites. C’est le temps du cœur. Pour notre mental il est illusion, mais pour notre cœur il n’y a pas débat sur la réalité de son caractère. C’est le temps qui reste dans le cœur au présent même si l’événement auquel il se rapporte a eu lieu il y a 25 ans. C’est le temps auquel on se réfère quand quelqu’un qu’on aime décède et qu’on dit que cette personne restera dans notre cœur.
- C’est dans CE temps que s’inscrivent les moments passer à lire et relire son livre préféré. Oui, on en connaît déjà l’histoire… Mais l’histoire, ce n’est que le premier degré de toute lecture, les faits, les « ce qui s’est passé au dernier épisode ».
- Oui, les séries sont très qualitatives, mais comment se mesure leur qualité justement ? Au degré de binge watching. A notre degré d’addiction à l’intrigue au point de ne pouvoir attendre le lendemain pour voir l’épisode suivant. Autrement dit, au premier degré, à l’histoire en elle-même. Or, en lisant certains texte plusieurs fois, on peut y découvrir des allusions ou des références qui nous avaient échappés la première fois, voire les premières fois. Et je ne parle pas que des livres d’Umberto Eco (où tu pressens à chaque phrase une référence historique, clin d’œil destiné à un lecteur manifestement plus érudit que toi). Même dans certaines BD – genre que j’ai découvert sur le tard, des jeux de mots subtils nécessitent parfois plusieurs lectures adossées d’une réflexion et d’un recours à Wikipedia.
- Mais on peut aller encore beaucoup plus loin. La Torah typiquement se lit à 4 niveaux. Le premier, le sens littéral donc (celui de l’anecdote, il s’est passé ceci et cela, ça c’est bon, ça c’est mauvais). Le second, le sens symbolique (on dépasse ici l’idée que quelque chose soit OU bon OU mauvais). Le troisième, encore plus subtil, se dégage « en rapprochant un verset de la Torah d’un autre, en analysant les commentaires contradictoires émis dans différents textes »**. Et le 4ème, pour lequel j’ai un petit crush, le sens mystique, secret. Celui du « mystère caché dans la lumière obscure »**. Celui qui nous place au-delà de l’idée même de bon ou de mauvais. Pour des exemples concrets, je vous renvoie à votre rabbin érudit ou à ce fameux livre que j’ai lu 2 fois ce weekend et qui inspira la présente, « Le Kabbaliste - Rencontre avec un mystique juif de Patrick Levy » – découvert un après-midi d’oisiveté active chez Filigranes il y a plusieurs années.
- Un même texte, plusieurs degrés de lecture. Ce n’est quand même pas à nous les belges qu’on va expliquer ça. D’apparence, notre langue ressemble à une version un peu dépouillée, un peu rustique du français de France. Mais c’est oublié que notre français à nous se lit sur deux niveaux. Chez nous, c’est connu, la subtilité se retrouve souvent moins dans le vocabulaire employé, que dans le second degré sous-entendu expressément par l’auteur. A bon entendeur comme on dit. En fait, face à ce livre dont je connaissais déjà l’histoire, j’ai réalisé qu’il était simplement impossible de lire deux fois le même livre. Si le livre lui-même en tant qu’objet reste le même, un acteur clé du récit change à chaque fois. Il s’agit bien sûr du lecteur lui-même. Celui qui donne le sens au texte en fonction de ses sensibilités personnelles. Qui elles-mêmes évoluent avec le temps. Même un même lecteur n’est en effet pas le même aujourd’hui que hier.
- J’aime la présence physique des livres. Si on peut en compter le nombre dans notre bibliothèque, ils nous renvoient à l’infini précisément parce qu’on ne lit jamais deux fois le même livre. Ils sont ainsi l’une des rare portes d’accès au temps dans lequel il est impossible de perdre du temps. En attendant qu’ils sortent une série que l’on aura envie de voir deux fois, ne serait-il pas temps de relire notre livre préféré ?
- INVITE : YVES ALIX
- Aborder sereinement les voyages avec un programme qui allie théorie et pratique Si vous volez déjà, mais redoutez le vol, si vous n’avez jamais pris l’avion en raison de votre peur immense, si votre peur de l’avion s’est intensifiée au point de devenir une véritable phobie et qu’il est impossible pour vous de tout simplement prendre l’avion : SAUTEZ LE PAS !
- AviaSim Bruxelles, propose un stage antistress qui permet d’apprivoiser la peur de voyager dans les airs. Participer au stage permet d’avoir des explications, conseils et réponses sur l’origine et la nature de l’anxiété que les personnes éprouvent à l’idée de prendre l’avion. Le simulateur se révèle un instrument très efficace pour apprendre et mémoriser les techniques de gestion du stress et mieux connaître l’univers de l’aéronautique.
- INVITE : SANDRINE SEBBANE
- Sandrine SEBBANE nous parlera de la campagne nationale pour La tsedaka
- NICOLAS ROISIN
- Les sorties cinéma de la semaine + pitch sur tintin
- JESSICA BENDAVID
- Jessica BENDAVID nous parlera de Sweets avec la marque belge Yolloh.