BRIGITTE REPREND L'ANTENNE -S2 Ep15
- INTRO
- Brigitte Weberman et sa team de chroniqueurs sont en studio ce soir pour votre plus grand plaisir. Au programme Christine Calmeau nous pitchera le roman de Miriam Frank - "Portrait inachevé "et nous fera également 3 propositions de livres à glisser sous le sapin. Béa Ercolini sera accompagnée de madame Beelab pour nous parler de ses miels essentiels qui soignent. Sarah Halfin nous pichtera son nouveau sujet « Travailler dur » . Severine Ferrer nous ramenera dans les années 90 avec la tournée « Born in 90 » On fera le plein de recettes avec Madeline Escafit et Marc Elferink qui nous parlerons du livre Zéro Waste. Edna nous fera rentrer dans sa Room 260. Ludwig Lampaert, fondateur des boissons « Ghost in a bottle » viendra nous raconter son actualité. Et les merveilleuses surprises de Noel de notre ami Nikolas Koulepis! David Teboul nous développera son livre « Simone Veil l'aube à Birkenau » On se retrouve dès ce soir de 18h30 à 20h sur radio Judaïca 90.2 fm. Nous sommes aussi comme chaque semaine, en rediffusion le jeudi de 10.30 à midi.
- BEA ERCOLINI
- Beelab les miels essentiels qui soignent! C'est quoi le miel essentiel ? C’EST UN MIEL D’UNE ORIGINE FLORALE PRÉCISE COMBINÉ À UNE SÉLECTION D’HUILES ESSENTIELLES POUR LEURS VERTUS. CETTE COMPOSITION OFFRE DAVANTAGE DE BIENFAITS QUE LES PROPRIÉTÉS DE CHAQUE INGRÉDIENT QUI LA CONSTITUE. EN EFFET, IL EXISTE UNE SYNERGIE ENTRE LE MIEL ET LES HUILES ESSENTIELLES QUI RENFORCE LEURS ACTIONS. LES BIENFAITS DU MIEL SONT BOOSTÉS PAR LA PUISSANCE DES HUILES ESSENTIELLES ET LES EFFETS DES HUILES ESSENTIELLES SONT RENFORCÉS PAR LES PROPRIÉTÉS DE CHAQUE MIEL.
- EDNA
- ROom 260 Room260, c’est la halte incontournable pour les jeunes professionnels actifs qui courent sans cesse après le temps et oublient de songer à leur style pourtant si important pour se forger sa propre identité. Room260, c’est le dernier bébé d’Edna et de Raphaël. Passionnés de mode depuis toujours, Edna et Raphaël ont ouvert leur première boutique en 2011, sous l’enseigne Yes Boutique. Avec ses collections triées sur le volet et les conseils avisés de Raphaël, le magasin se positionne rapidement comme l’adresse phare des jeunes filles férues de mode, en quête d’un look qui leur est propre. Plusieurs années et boutiques plus tard, le couple se lance un nouveau défi. Celui d’habiller les hommes et les femmes au tournant de leur vie. Leur expérience de jeunes parents combinée à leur aventure d’entrepreneurs leur a appris qu’il peut être facile de s’oublier. En rentrant dans la vie active, nous nous cherchons tous. Nous sortons de notre zone de confort, nous sommes conscients que nous nous situons à l’aube de notre vie et que toutes les portes sont ouvertes. En d’autres termes, c’est un moment charnière dans notre vie. Et c’est aussi un moment où il peut être difficile de trouver son identité. C’est là que la mode entre en jeu. Les vêtements sont plus que de simples assemblages de tissus. D’une part, ils constituent d’extraordinaires liens sociaux. Un simple accessoire ou une pièce forte suffit pour détourner les regards et pour initier des conversations. D’autre part, la mode nous confère une sorte de pouvoir magique, une assurance qui sublime notre beauté intérieure. S’approprier un look, c’est oser s’affirmer et oser s’affirmer, c’est la première étape vers la concrétisation de ses rêves. C’est là toute l’essence de Room260 : des conseils professionnels, sincères et personnels, des prix accessibles pour tous et des pièces soigneusement sélectionnées pour une garde-robe qui marie le casual chic et les classiques intemporels, sans jamais négliger la qualité. Alors, qu’attendez-vous pour oser vous exprimer ?
- NO GHOST IN A BOTTLE
- "no ghost, no worries" Telle pourrait être la devise de la gamme de gins sans alcool, sans sucre et sans sel créée par le belge Ludwig Lampaert. Originaire du Brabant-Flamand, Ludwig fut actif pendant de nombreuses années dans la distribution des vins et spiritueux, avant de se faire plaisir en créant ses propres gins en 2015. En 2018, pour répondre à une demande de plus en plus fréquemment exprimée, il imagine une nouvelle gamme: No Ghost in a Bottle, Herbal & Floral Delight, et lance ainsi sur le marché les premiers distillats non-alcooliques de Belgique. Avec sa nouvelle gamme No Ghost in a Bottle, et Herbal & Floral Delight, Ludwig propose des produits sains, élaborés avec attention, offrant une expérience authentique et des saveurs pures. Avec la création de ces distillats naturels sans sucre, ni sel, ni alcool, c’est une belle alternative qui s’offre à toutes celles et ceux qui boivent peu ou pas d’alcool… mais savent profiter des bonnes choses ! Floral Delight est une combinaison délicate à base de différentes fleurs et fleurs fruitières. Mélangez 5 cl de Floral Delight à un tonic neutre (ou à un club soda) dans un verre rempli de glaçons. Garnissez de quelques fruits rouges ou d’un morceau de pomme fraîche. Variante: remplacez le tonic neutre par un tonic elderflower (au sureau). Herbal Delight est une symphonie composée d’herbes classiques et d’une pointe de gingembre frais. Mélangez 5 cl d’Herbal Delight à un tonic neutre (ou à un club soda) dans un verre rempli de glaçons. Garnissez d’une branche de romarin ou d’un morceau de pamplemousse rose. Variante : remplacez le tonic neutre par un ginger ale. A propos de No Ghost in a bottle Ludwig Lampaert a fondé la société belge Ghost in a Bottleil y a 4 ans. Son idée était de revenir aux racines du gin, aussi bien en matière de goût que de concept créatif. Son premier gin, Ginetical the Royal Edition, a été un succès. Il a vite été suivi du Ginetical the Wooded Edition, couronné en 2018 du titre de World’s Best Matured Gin durant les World Gin Awards à Londres. La gamme s’est ensuite enrichie-sous la devise «modern spirits, ancient traditions »-d’un vermouth et de deux rhums. Trois créations de qualité, laissant la part belle à l’authenticité. EN 2018, Ludwig crée une gamme de gin sans alcool No Ghost in a Bottle, pour répondre aux nouvelles tendances du marché et procurer un même plaisir gustatif à tous les consommateurs.
- SEVERINE FERRER
- Severine Ferrer nous parle de la tournée Born in 90 Présenté par le producteur des tournées à succès RFM Party 80, Génération Dance Machine, Stars 80, The Voice Tour, Danse avec les Stars, des comédies musicales Flashdance ou encore Priscilla Folle du Désert, "BORN IN 90" sera le spectacle de toutes les démesures, avec les grandes stars de cette décennie, un ballet de 10 danseurs, 8 musiciens et choristes en Live, un son d’anthologie, un débauche de lumières, d’images et d’effets spéciaux. Animé par Séverine Ferrer, retrouvez sur scène : WORLDS APART - KATRIN from BLACK BOX - DOC GYNECO - LÂÂM - LARUSSO - BENNY B - PRINCESS ERIKA - TRAGEDIE - ZOUK MACHINE - MENELIK - GENERATION BOYS BAND : Allan Theo, Frank from 2BE3, Chris from G-Squad - MOÏZ from TRIBAL JAM - ASSIA
- CHRISTINE CALMEAU
- Christine Calmeau nous décrit le livre de Miriam Franck "Portrait inachevé" paru aux éditions de Fallois Ce Portrait inachevé est à la fois celui de deux existences hors du commun et d’une époque tragique vécue dans l’ombre portée de l’Holocauste. Miriam Frank, dans L’Absence ni le temps... avait retracé sa « vie déracinée » d’un continent à l’autre. Ici, elle fait revivre principalement la personnalité de sa mère et s’interroge aussi sur l’intensité parfois orageuse de leurs relations et sur la profondeur de leur affection mutuelle. Après une longue séparation, tandis qu’elle poursuit à Londres une brillante carrière médicale, Miriam accueille sa mère Käte Lichstenstein, atteinte d’un mal incurable et l’assiste jusqu’à la fin (1984). Le passé ressurgit. Quelques photos, quelques confidences d’amis proches, des souvenirs personnels vont guider Miriam sur la voie d’une enquête intime qui compose presque une double autobiographie. Qui était vraiment Käte dans sa jeunesse ? Que fut sa vie à Berlin capitale de toutes les audaces vers la fin du régime de Weimar? Que furent ses engagements politiques au sein du Parti communiste allemand puis dans le camp républicain espagnol, dans la petite société cosmopolite et libertaire qui s’était formée en Catalogne? Portrait inachevé c’est aussi un éloquent exemple de fermeté, d’intelligence et d’humanité. Ensuite, à glisser sous le sapin : 3 propositions de livres qui ne sont pas des romans cette fois : - Elizabeth II La Reine, de Jean des Cars, Perrin - Paris-Match 70 ans, 1949 – 2019, Michel Lafon - Dictionnaire amoureux de New York, Serge July, Plon L’auteur retrace la vie de sa mère, un livre à la fois biographique, mais aussi autobiographique ; L’auteur arrive à nous partager ses émotions et son enfance, ses souvenir avec tendresse. Miriam Franck partage tous le vécu de sa mère, ses différents voyages. A chaque destination une histoire, une anecdote, des souvenirs, une émotion… Ce livre est très beau car il relate la relation entre une mère et une fille. Les émotions de l’auteur sont fortement ressenti… Des rencontres, des aventures et des rappels à la mémoire. Passage préférée qui résume bien le livre et le sentiment de l’auteur envers sa mère: « J’essaie de voir le monde le monde à travers ses yeux, son intelligence. De retracer notre cheminement et de trouver le moyen de combler le fossé qui s’était élargi entre nous au fil des ans ; de remplacer notre apparent éloignement par une compréhension mutuelle. » p19 Au travers de ce livre, l’auteur cherche véritablement un moyen de revenir au source, de revenir à l’amour mère - fille, elle cherche à le souvenir de sa « mère ». Probablement qu’elle cherche à répondre à une question interne, qui était ma mère, et quel bon souvenir ai-je d’elle ? Dans ce livre il y a beaucoup de voyage, beaucoup d’endroit où vous étiez avec votre mère, pensez-vous que ces voyages ont au lieu de consolider vos relations vous ont éloignez de votre mère ? Ce livre parait comme une biographie, mais aussi comme un journal intime car au milieu de tous ces souvenirs, on retrouve vos sentiments, vos émotions et des questionnements un grand besoin de comprendre est-ce que vous êtes d’accord ? Votre mère elle-même cherchait le « bonheur » dans le dernier chapitre elle évoque beaucoup son malheur, sa tristesse et vous étiez son réconfort, sa joie sa paix.. Une éclaircit dans tous ce chagrin, malheur.. Comment vous vous le percevez aujourd’hui ?
- ZERO WASTE
- Madeleine Escafit est à nos côtés pour nous parler du Livre "Zero Waste". DES RECETTES POUR TOUS LES JOURS SANS GASPILLAGE Un pesto de fanes de radis à la ricotta, un pickles avec les tiges du fenouil, des légumes rôtis dans le marc de café… Et si nos plats prenaient du relief avec les éléments dont on les prive habituellement ? C’est le parti pris de Zero Waste, un livre de recettes pour créer de nouvelles habitudes en cuisine, sans gaspillage. Grâce à son élaboration en réalité augmentée, Zero Waste vous offre la possibilité de visionner la confection de certaines recettes en vidéo depuis votre smartphone ou votre tablette.
- LA CHRONIQUE DE SARAH HALFIN
- « TRAVAILLER DUR » – Une chronique de Sarah Halfin C’était bien votre weekend ? Qui a fait la fête ce weekend ? Qui en a profité pour s’amuser et se vider la tête ? Tout le monde ? Attendez les gars, ça va pas du tout ça ! On ne vous a jamais dit qu’il fallait travailler dur pour réussir ? Et vous, vous prenez des weekends le weekend ? Ce n’est clairement pas le cas des 2 amis à moi dont je vais vous parler aujourd’hui et résultat : l’un a fait l’Olympia ce weekend avec son one-man show(Brigitte : Alex Vizorek) et l’autre a annoncé que le premier film qu’elle a écrit et réalisée venait d’être sélectionné à Sundance(Brigitte : Zoé Wittock, c’est ça ?). Deux petits belges arrivés au sommet, l’un dans la salle de spectacle la plus mythique de France, l’autre au festival de cinéma le plus réputé des Etats-Unis. Bravo les gars, je peux en témoigner : vous l’avez vraiment bien mérité ! Elle, se réveille bien souvent de son propre chef à 6h du matin pour écrire. Lui, souvent encore beaucoup plus tôt pour offrir ses chroniques matinales à 2 millions d’auditeurs. Depuis le début, je me souviens, pas un jour de vacances dans l’année, pas un samedi, pas un dimanche, peu de soirée… De fait ils ont tous les deux beaucoup, beaucoup travaillé. Pourtant, dire qu’ils ont réussi parce qu’ils ont « travaillé dur » (j’insiste sur le mot dur) me semblerait complètement erroné. Je pense en fait que c’est tout le contraire. Récemment, je suis tombée sur une vidéo d’un guru indien réputé, dénommé Sadhguru qui partage mon avis. Lui, il dit carrément : « si c’est dur, laissez tomber ». Je vous entends d’ici : il vit sur quelle planète cet illuminé ? Alors pour l’occasion, j’ai élaboré un raisonnement à destination de nos cervelles d’occidentaux rationnels. Tendez bien l’oreille, le voici : si vous trouvez une carrière qui vous passionne, travailler dur n'est pas un fardeau. Et donc le mot « dur » n’est pas approprié. Vous me suivez ? Si ce que je fais est juste pour moi, dans les faits je travaille peut-être dur mais je n’ai pas le sentiment de travailler dur. La nuance est là et elle fait toute la différence. Dommage que l’idéologie de la sacro-sainte méritocratie n’insiste pas sur ce petit détail. Pour résumer, oui il faut travailler dur dans les faits pour réussir, mais si on est sur la bonne voie, càd la sienne à soi, on n’a pas l’impression de littéralement « travailler dur ». Alex, Zoé, CQFD vous avez beaucoup de mérites les gars, mais sorry pas celui-là. La preuve, c’est que si tel était le cas, vous vous empresseriez de lever le pied une fois votre moment de gloire tant attendue arrivé. Et il me semble qu’il n’en est rien. Votre plus grand mérite est ailleurs. Il réside, me semble-t-il, dans le fait d’avoir su écouté cette petite voix à l’intérieur de vous, que mon amie réalisatrice appelle « un instinct au fond de soi », et de l’avoir jusque-là toujours choisi sans compromis pour vous guider. C’est peut-être ça le plus dur d'ailleurs. Garder le cap même quand la raison pure a de solides arguments pour vous dire d’agir autrement et qu’aucune preuve du bien fondée de cette fameuse intuition n’a encore pointé son nez. J’entends certains encore ricaner – tout ça, c’est bien beau mais c’est réservé aux artistes et à quelques rares privilégiés passionnés. Comme les succès stories ça fait rêver, j’ai commencé par mentionner mes amis couronnés, mais le moment est venu de vous parler d’une autre de mes connaissances que j’ai revue ce weekend. Marie, infirmière à domicile et dans un centre pour personnes gravement handicapées. 40 ans de métier. Elle, on peut dire qu’elle travaille dur n’est-ce pas ? Je vous laisse en juger. Elle m’expliqua qu’elle était à un an de la retraite, mais qu’elle avait déjà annoncé à ses collègues que cela n’y changera rien de rien. Quand elle sera à la retraite, elle fera tout tout pareil, simplement en mode bénévolat. Le mot passion a été utilisé 4 fois en un café je crois. « Trouvez ce qui suscite l’étincelle en vous de sorte à illuminer ensuite le monde » disent les sages comme Sadhguru. A la place de travailler dur, on dit alors plutôt « jouer de manière extrêmement disciplinée ». On n’a pas tous encore cette chance d’avoir trouvé la fameuse étincelle, mais ce n’est visiblement pas en « travaillant dur » qu’on va y arriver. Et si pour aujourd’hui on se contentait de cette bonne nouvelle ?
- DAVID TEBOUL
- la fin des années 1990, David Teboul, un jeune cinéaste, propose à Simone Veil de lui consacrer un documentaire. C'est le point de départ d'une amitié qui va durer jusqu'à sa mort. Au fil des années, il enregistre plus de quarante heures d'entretiens. L'intimité entre Simone Veil et David Teboul est telle que c'est à lui que les enfants de Simone Veil confient la cérémonie du Panthéon. Ces enregistrements, restés jusqu'ici dans l'ombre, donnent aujourd'hui naissance à ce livre bouleversant. Simone Veil habite littéralement le livre. Le lecteur entend sa voix et ressent sa liberté intérieure. La vérité qui se dégage du texte est saisissante. Les sentiments de David Teboul à son égard, son obsesn d'écouter et de comprendre, le temps passé avec elle, expliquent pourquoi Simone Veil s'est livrée telle qu'elle était, sans fard, digne et vibrante.