BRIGITTE REPREND L'ANTENNE -S2 EP19
- INTRO
- Avec des sujets toujours aussi intéressant et une ambiance sur le plateau plus sympa que jamais... Brigitte et sa team sont de retour, en cette nouvelle année 2020 ! Au programme de ce mardi : Sarah Halfin pitchera sa chronique nommée « Il a osé pour nous » Béa Ercolini sera accompagnée d'Astrid Wendland pour nous parler du livre de l'auteure "Enquête : Pourquoi le luxe fait-il tourner le monde ?" Frédérique Genicot, nous parlera de son dernier livre "Tout plaquer, être libre, oui, mais comment ?" Marc Kawam nous fera découvrir la pièce de Wajdi Mouawad et Benoît Vermeulen "Assoiffés" Cindy Legros nous parlera de voitures, de motos et d'autres engins automobiles dans le cadre de la 98eme exposition du Salon de L'Auto. Michael Marque, viendra nous faire saliver avec les pâtisseries de la Maison Kayser Nathan Moyse de Union des Jeunes Gens Israélites du Luxembourg nous développement l'événement organisé par l'association Yael Landman de l'association BESC nous parlera du programme de sécurité C.A.R.E On se retrouve dès ce soir de 18h30 à 20h sur Judaïca 90.2 fm. Nous sommes aussi comme chaque semaine, en rediffusion le jeudi de 10.30 à midi.
- ARTHUR DREYFUS
- J'étais au café Beaubourg en train d'écrire. J'ai reçu une alerte du Monde. "Coups de feu dans les locaux de Charlie Hebdo". J'ai lâché mon texte, me suis connecté aux journaux. Une attaque avait eu lieu. Les informations sont tombées au goutte-à-goutte. Un mort, deux morts, trois morts - plusieurs morts... Des islamistes étaient entrés dans les locaux d'un journal, et avaient tiré à la kalachnikov sur des dessinateurs, sous prétexte qu'ils avaient osé tourner en dérision la religion. Comme si Dieu Tout-Puissant avait besoin d'aussi minables défenseurs. Quelques semaines plus tôt, aux côtés de sa femme Véronique, Cabu m'avait raccompagné chez moi en Autolib, après une soirée chez des amis communs. C'était mon dessinateur préféré. Me hante encore son sourire au moment de sortir de la petite voiture : sourire d'enfant intact, lumineux ; incarnation éternelle de douceur. Même quand Cabu avait la plume acide, elle n'était jamais aigre. Dans ses dessins, il sauvait tous les hommes. C'était un mensch, un roi sans château, un artiste. Bientôt sur le site du Monde, est apparue la nouvelle : Cabu est mort. Charb est mort. Wolinsky est mort. Ils sont tous morts. L'émotion a gagné la planète. Je me disais qu'enfin, tout le monde serait d'accord sur un point : on ne tue pas quelqu'un pour un dessin. Mais l'union sacrée n'a pas duré. Une semaine plus tard, de premières voix courageuses affirmaient déjà que l'humour d'untel était "un peu exagéré". Conspuaient le mauvais goût des uns, le politiquement incorrect des autres... Passant complètement à côté du principal : on ne tue pas pour un dessin. On dit que l'enfer est pavé de bonne intentions. Il est surtout pavé de minuscules compromissions. Minuscules et répétées - ad nauseam. 7 janvier 2015. Je me revois dans ce café. C'est comme si c'était hier. C'est maintenant. La récente notion de crime contre l'humanité punit une "violation délibérée et ignominieuse des droits fondamentaux d'un individu ou d'un groupe d'individus inspirée par des motifs politiques, philosophiques, raciaux ou religieux." Elle ne fait pas de ses victimes des "héros" (l'époque recrute partout des héros, biberonnée aux films américains). Elle fait cependant d'eux, indépendamment de leurs qualités personnelles, des emblèmes de notre humanité à chacun, de notre définition commune de la liberté. Charb, dessinateur Cabu, dessinateur Wolinski, dessinateur Tignous, dessinateur Honoré, dessinateur Ahmed Merabet, policier Bernard Maris, économiste Michel Renaud, journaliste Frédéric Boisseau, agent de maintenance Esla Cayat, psychiatre Mustapha Ourrad, correcteur Franck Brinsolaro, policier [Et tous les autres.] N'oublions jamais.
- MARC KAWAM
- Piece de théâtre - les assoifés 2x2 places à gagner Assoiffés, texte incandescent sur l’adolescence, ouvre son rideau sur une boîte rouillée, abandonnée qui renferme les mots (maux), les passions et l'espérance de Boon. Déchiré entre l’écoute de son cœur et la société il décide, malgré sa crainte du passé, malgré l’impact de l’abandon de ses rêves sur son être intime, d’ouvrir publiquement cette boîte qui va rapidement se transformer en maison, tribune, castelet pour enfin tout faire rejaillir : Murdoch, adolescent québécois « Heavy » se réveillant un matin envahi d’une soif nouvelle, impossible à étancher qui déborde, qui inonde ce monde qu'il ne comprend plus; des sons, des êtres fictifs, masqués, usés par le temps, retracent alors l’histoire de Boon. Auteurs : Wajdi Mouawad et Benoît Vermeulen. Création collective de Sarah Ballestra, Pierrick Bressy-Coulomb, Mélaine Catuogno, Vivien Fedele et Alexandre Streicher. Avec : Mélaine Catuogno, Vivien Fedele et Alexandre Streicher. Création lumière : Sarah Ballestra et Jean-Charles Vautrin Scénographie : Mélaine et Juan Catuogno
- FRÉDERIQUE GENICOT
- Tout plaquer, être libre, oui, mais comment ? Si vous avez ce livre entre les mains, vous êtes sûrement prêt à sauter à pieds joints dans une nouvelle étape de votre vie professionnelle ! Le désir de retrouver du sens et la liberté est sans doute votre première motivation, pourtant, comment atteindre l’objectif ultime : aimer ce que l’on fait, en vivre, sans tout sacrifier ? Frédérique Genicot propose ici un accompagnement sur-mesure qui vous permettra de gagner en efficacité et d’éviter les grosses erreurs. Futur consultant, coach, slasher, startupper ou repreneur d’entreprise, vous saurez comment : réussir votre lancement, trouver les pistes d’actions concrètes pour développer votre activité, viser plus haut, aller plus vite ; vous motiver à faire un premier petit pas grâce à des passages à l’action, des modes d’emploi, des recettes éprouvées, des astuces personnelles et des ressources précieuses ; vous laisser inspirer par le parcours d’autres entrepreneurs qui ont pris des risques et montrent que tout est possible. Alors, le titre de votre livre c'est Adieu Salariat "bonjour liberté", plus tard dans le l'un des chapitres vous nous évoquez comme première consigne avant de se lancer :"de trouver avant tous ce que vous aimez faire"... On retrouve toujours dans votre livre notion du plaisir, de l'hédonisme.. Pensez-vous qu'aujourd'hui, dans le monde du travail actuel on ne fait plus ce qu'aime mais on fais plutôt ce que le monde ou la société nous dit de faire ou d'être L'entreprenariat,souvent fait peur et a tendance et freiner malgré les ambitions, que pouvez conseiller à ses femmes qui n'ose pas? Votre livre est une vraie mine d'or, des conseils, des portraits et des même des adresses, aujourd'hui vous pensez avoir réaliser "le manuel" pour oser se lancer dans l'entreprenariat? Un livre que vous même avant de vous lancer auriez aimé avoir ??
- CINDY LEGROS
- Salon de l'auto - 10 places à gagner La 98e édition du Brussels Motor Show se déroule du 10 au 19 janvier dans les palais de Brussels Expo. Si l’automobile et les deux-roues motorisés y occupent à nouveau le haut de l’affiche, les solutions de mobilité douce et partagée ne sont pas en reste avec désormais une position préférentielle qui leur est attribuée en plein cœur de l’événement le plus populaire en Belgique. Avec plus de 95.000 m² consacrés à l’automobile, aux deux-roues motorisés et à la mobilité douce et partagée, la 98e édition du Brussels Motor Show affiche tout simplement complet. L’intégralité des constructeurs automobiles traditionnels a répondu à l’appel des organisateurs, de même que l’ensemble des marques de deux-roues motorisés. Mieux : de nouveaux acteurs du marché sont présents pour la toute première fois dans le cadre du Brussels Motor Show. Sept palais sont dédiés aux constructeurs automobiles : 6 pour l’exposition générale (Palais 3, 4, 5, 6,7 et 10) et 1, comme le veut désormais la tradition, pour l’exposition Dream Cars (Palais 1). Les exposants de l’univers du deux-roues motorisé trouvent une nouvelle fois place dans les Palais 8 et 9 tandis que, grande nouveauté, les exposants #WeAreMobility qui mettent en avant les solutions de mobilité douce et partagée ainsi que les applications de mobilité sont cette fois présents durant l’entièreté du Brussels Motor Show en plein cœur de l’exposition, puisqu’ils ont trouvé place dans le Patio qui sépare les Palais 5, 8. Les amateurs de voitures de luxe et autres bolides exotiques n’ont pas été oubliés. La désormais incontournable exposition annexe Dream Cars fait une nouvelle fois partie des hauts lieux du Brussels Motor Show. Une thématique printanière agrémente les 40 podiums dressés dans le Palais 1. Les plus prestigieux constructeurs automobiles y dévoilent leurs dernières créations, au même titre que quelques artisans pass. Le supplément demandé au public pour accéder à l’espace Dream Cars en complément du Salon traditionnel est de 7€. Une pléthore d’animations Véritable marque de fabrique du Brussels Motor Show : l’exposition traditionnelle s’accompagne à chaque édition d’animations qui apportent une véritable valeur ajoutée à l’événement et renforcent l’expérience du public. Il n’en va pas différemment en 2020 avec en sus quelques très gros lots à remporter pour les visiteurs les plus perspicaces. Tour d’horizon non exhaustif... °Car of the Year (Palais 5) : Les voitures finalistes à l’élection de la « Car of the Year 2020 » sont exposées à l’entrée du Palais 5. °Exposition Universelle 2020 (Patio) : L’exposition Universelle 2020 se déroulera à Dubaï, aux Émirats arabes unis, du 20 octobre 2020 au 10 avril 2021. °Piste #WeAreMobility (Patio) : Relocalisée au centre de l’infrastructure dans le Patio, l’exposition #WeAreMobility propose à nouveau sa traditionnelle piste d’essai sur laquelle les visiteurs peuvent se familiariser à la maitrise d’engins de micromobilité tels les hoverboards, °Win2Race (Palais 4) : Les amateurs de sport automobile n’ont pas été oubliés. Outre les exposants traditionnels qui présentent quelques bolides de compétition sur leurs stands respectifs, les organisateurs du Brussels Motor Show ont implanté une zone thématique de 220m² à l’avant du Palais 4. °E-Test Track (Palais 9) : Les futurs aspirants motards ont rendez-vous dans le Palais 9 où une piste de 200m² permet aux enfants de 3 à 12 ans de s’exercer au maniement de mini motocross électriques. 98e Brussels Motor Show - Un événement incontournable pour les passionnés de motos, scooters et cyclomoteurs : Une formation, un emploi dans le secteur automobile ? Rendez-vous Palais 4 ! Comme lors de chaque année paire, l’initiative Job On Wheels by FEBIAC profite du Brussels Motor Show pour mettre en lumière les possibilités de formation et de carrière dans le secteur automobile. Et si les métiers de carrossier, mécanicien poids lourds, mécanicien polyvalent et tôlier en carrosserie font partie de la liste des métiers en pénurie de main d’œuvre qualifiée qui offrent des débouchés directs sur le marché de l’emploi, les filières d’apprentissage et de formation qui y mènent doivent cependant faire face à une mauvaise image héritée du passé dont souffrent encore généralement les fonctions manuelles. Horaires : Ouverture au public : du vendredi 10 au dimanche 19 janvier Heures d’ouverture : de 10h30 à 19h00, Nocturnes jusqu’à 22h : vendredi 10, lundi 13 et vendredi 17 janvier Cérémonie d’inauguration : le jeudi 9 janvier à 15h par SAR la Princesse Astrid, Avant-Première & Opening Night : le jeudi 9 janvier de 18h à minuit Tarifs : Entrée générale 15€,Enfant (6 - 12 ans) 10€,Enfant (0 – 5 ans)Gratuit Billetterie online : www.autosalon.be
- SARAH HALFIN
- « Il a osé pour nous » – Une chronique de Sarah Halfin Le 1er livre qui est tombé entre mes mains en 2020 m’a procuré beaucoup de joie. C’est le nouveau livre de Frédéric Beigbeder. Sur sa couverture, pas de titre. Juste un smiley géant qui pleure de rire. Nous sommes en 2020. Mon 1er élan créatif a bien sûr été de vouloir poster la photo du livre sur insta, avec un slogan du type « 20/20 ce livre comme l’année qui vient de commencer. Smiley happy ». Mais j’ai décidé de faire un petit effort d’analyse avant. Pourquoi une telle joie éprouvée ? Beigbeder consacre ce livre à son suicide médiatique. C’était en direct sur France Inter il y a un an. Ca faisait 3 ans qu’il y était chroniqueur dans l’émission matinale, écoutée par plusieurs millions de français. Et voilà que ce jour-là, il arriva sans rien avoir préparé. Il a voulu improviser. S’en suivirent 3 minutes franchement gênantes, voir pathétiques. Le jour même, il était remercié. Non mais franchement, pour qui ce mec se prend ? Ce soi-disant timide qui passe à la TV. Ce narcissique qui n’est sur aucun réseau social. Ce libertin romantique, anarchiste et mondain. Eh bien, 317 pages plus tard, voici ma réponse toute personnelle : il se prend pour ce que nous sommes tous, un paradoxe sur pattes. A la différence près que lui, il l’assume. Il est noir et blanc à la fois et il se présente comme tel. Autrement dit, moi je dis, voici un humain qui assume d’être humain. Enfin un ! Ce n’était pas mieux avant, dit-il, c’était pareil mais j’étais plus nombreux. Qu’a-t-il fait ce jour-là, si ce n’est un acte que seul un humain était capable de faire : faire un choix complètement opposé à toute raison. Un acte spontané, vraiment spontané. Ce que la plus douée des intelligences artificielles ne sera jamais capable de faire. Aujourd’hui, même le rire n’est plus spontané. Beigbeder l’explique bien : en devenant la norme, le rire est devenu obligatoire, écrit d’avance, interchangeable. Plus machine qu’humain en somme. Evidemment, paradoxe oblige, moi j’ai ri à chaque page du livre. D’un rire sérieux en plus. « Les émoticônes, c’est la victoire de Walt Disney sur Proust », vous voyez l’idée ? En faisait de son énorme bide, de son moment de rien, de moins que rien, un bon roman, il nous prouve aussi que le rien peut être fécond. Autorisation accordée donc de flâner, d’être oisif parfois, de temps en temps juste être soi, être vivant tout simplement. Après, l’effort reste toutefois un passage obligé. Il a fallu ce livre à Beigbeder pour être réhabilité. Mais voilà on a quand même un peu le choix de son effort. Dans son cas, il a décidé que ce ne serait pas dans une chronique faussement spontanée, mais dans un livre entier bien pensé. Oui, vous ne rêvez pas, toute proportion gardée, je suis en train de faire de ce dandy aux cheveux longs un messie des temps modernes qui nous rappelle à nous-même. Avec ce happening du rien un beau matin devant des millions de terriens, il a osé pour nous ; il a réalisé que ce nous pensons ne même pas être une possibilité. Tout plaquer du jour au lendemain si l’on en ressent le besoin. Dire f*** you à son boss et adieu à jamais à sa lettre de recommandation. Être un jour au moins vraiment, mais alors vraiment, spontané. Moralité ? Il a été viré sur le champ 😊, MAIS … il n’est pas mort. N’est-ce pas ce que notre inconscient, notre cerveau reptilien archaïque redoute en fait quand il est face à un vrai choix, càd un choix dénué de toute raison, un choix qui s’appuie uniquement sur notre intuition ? Beigbeder nous prouve qu’on n’en meurt pas. On aurait donc vraiment le choix. En tout cas, plus qu’on ne le croit. Et ça, ça me procure beaucoup de joie.
- MICHAEL MARQUE
- GALETTE CRÉATION EPIPHANIE 2020 PISTACHE ET FRAMBOISE Cette année encore, les boulangers de la Maison Kayser ont créé une galette en édition limitée. Pour accompagner la galette à la Frangipane traditionnelle, nous vous invitons à découvrir une galette dont les arômes de framboise et pistache s'équilibrent parfaitement en bouche. L'HISTOIRE d'Eric Kayser L'histoire de la Maison Kayser a commencé à s'écrire au 8 rue Monge un certain vendredi 13 septembre 1996, ce n’est en définitive que la suite logique d'un parcours entamé par un homme depuis son plus jeune âge. REDONNER DU GOÛT AU PAIN Au début des années 1990, bien peu croyaient au retour d’un pain de grande qualité. Éric Kayser a été de ceux-ci. Il a parié sur le développement du pain dit «de tradition», réalisé à partir de farines de blés français dépourvues d’additif et élaborées à partir de blés sélectionnés et de levain; un agent de fermentation vivant qui accroît le goût et la conservation du pain. Il fût formateur pendant près de 10 ans à l’Institut National de la Boulangerie-Pâtisserie (INBP), puis au sein de sa propre entité de conseil. S’ensuit une démarche de partage et d’échanges auprès de boulangers du monde entier. Depuis, ses méthodes sont reproduites à travers le monde, où il fait rayonner le savoir-faire français. EVOLUTION DES PRODUITS ET SANS GLUTEN Notre histoire s’écrit jour après jour. Pour rester en phase avec les attentes de nos clients, nous faisons évoluer nos produits pour leur donner plus de goût, adopter des méthodes de fabrication plus pointues, sélectionner des matières premières de premier choix. Depuis la fin de l’année 2013, les intolérants au gluten peuvent profiter de ce plaisir, grâce à une gamme sans gluten proposée au sein de quelques-unes de nos boulangeries parisiennes ou envoi postal. CONSTRUIRE UNE ENTREPRISE ARTISANALE DYNAMIQUE ET OUVERTE SUR LE MONDE Éric Kayser est parvenu à transmettre sa vision de la boulangerie en créant une entreprise aujourd’hui largement présente à l’international. Dans chaque pays, les produits s’adaptent aux cultures et aux goûts locaux: si notre baguette Monge reste une signature indissociable de la Maison Kayser; ailleurs, les pains se font parfois plus moelleux, colorés, petits... les formats et les saveurs varient mais notre savoir-faire, la sélection des matières premières de qualité supérieure et le travail au levain liquide demeurent.
- BEA ERCOLINI
- Astrid Wendlandt Enquête : Pourquoi le luxe fait-il tourner le monde ? Comment l’industrie du luxe et de la mode, quasi-inexistante il y a quarante ans, est devenue une puissance mondiale ? Dans cette anthropologie du glamour, la journaliste Astrid Wendlandt épingle ses super- héros et analyse ses contradictions. Le luxe, c’est l’ombre et la lumière. Derrière le rêve : splendeurs et misères. L’écrivain Sylvain Tesson s’interroge dans sa préface sur « cette étrange propension de l’homme à vouer une énergie considérable à la possession d’un objet qui ne lui servira à rien. » Cette enquête sur talons aiguilles révèle les dessous d’un monde aussi magique que cruel à travers les portraits des bâtisseurs d’empires. Karl Lagerfeld, le dernier des grands couturiers, partage ses réflexions dans un entretien inédit ; Alain-Dominique Perrin, Jean-Louis Dumas et Yves Carcelle font revivre l’épopée de la conquête du monde par Cartier, Hermès et Louis Vuitton. Puis, trois capitaines du luxe contemporains dévoilent leurs ambitions et partagent leurs craintes : José Neves, fondateur et PDG de Farfetch ; Ralph Toledano, président de la Fédération de la mode et de la haute couture et de la maison britannique Victoria Beckham ; et Jacques von Polier, architecte de la renaissance de Raketa, la plus ancienne manufacture horlogère russe. Ce livre - le fruit de quatre ans d’enquête et de centaines d’interviews - explore avec une liberté inouïe un monde du secret, du pouvoir, de la création et de l’argent. Astrid Wendlandt a dirigé pendant plus de dix ans la rubrique luxe de l’agence Reuters à Paris. Ceci est le premier ouvrage publié par Miss Tweed Éditions, unité de Miss Tweed Publishing, une nouvelle maison d’édition et un média dédiés au luxe et à la mode. Astrid Wendlandt, fondatrice et directrice, fait le pari qu’il y a encore de la place pour un journalisme « haute- couture », indépendant des annonceurs, des politiques et des pressions des grandes maisons. Ex-correspondante du Financial Times à Londres et à Moscou, elle est notamment l’auteur de L’Oural en plein cœur, des steppes à la taïga sibérienne, Albin Michel, 2014. Le Luxe à la conquête du monde et sa version anglaise publiée le même jour, seront vendus en librairie et sur misstweed.com, qui sera lancé également le 24 octobre.
- NATHAN MOYSE
- L’UJGIL - Union des Jeunes Gens Israélites du Luxembourg organise un Chabat Plein International du 14 au 16 février 2019 à Luxembourg-ville pour les 18 à 30 ans avec le thème suivant: “Melting Pot in Luxembourg: a new crossroad of Judaism”, où nous attendons plus de 100 participants de toute l’Europe.
- CINDY LEGROS
- mobilité Eventuel texte d'intro : "Le paysage de la mobilité vit actuellement une révolution sans précédent. Jamais l’offre automobile en matière de motorisations n’a été aussi variée tandis qu’en parallèle, on assiste à d’une multitude d’applications et d’engins devant favoriser la mobilité urbaine. Le nom officiel complet de notre évènement est Brussels Motor Show : Auto, Moto, Mobility. Ce n’est pas un hasard et ce n’est pas non plus uniquement un mot ajouté sur notre affiche. Nous tenons à présenter aux visiteurs un aperçu complet des solutions de mobilité." Détaille Pierre Lalmand : directeur des Salons pour le compte de FEBIAC, la fédération belge et luxembourgeoise de l’automobile et du cycle 98e Brussels Motor Show – Plein phare sur la mobilité douce et partagée En l’espace de quelques années, la mobilité urbaine a vécu une fulgurante révolution. L’usage exclusif de l’automobile ou des transports publics s’est retrouvé complété par l’émergence de solutions de mobilité douce et/ou partagées. Le partage de vélos ou de trottinettes électriques ainsi que l’association intelligente de divers modes de transport remportent aujourd’hui un succès fulgurant. En un temps record, un nombre croissant de navetteurs a été séduit par ces nouvelles solutions de mobilité qui permettent d’accomplir aisément la dernière partie du trajet qui sépare le domicile du lieu de travail. Après deux éditions lors desquelles elle était implantée dans le palais 10 et pour une période limitée, l’exposition #WeAreMobility se déroule en 2020 pour la première fois durant l’intégralité du Brussels Motor Show. Et pour sensibiliser un maximum de visiteurs, elle est désormais implantée dans le Patio de Brussels Expo où elle forme le cœur du Brussels Motor Show. Dix jours durant, les multiples facettes de la micromobilité et de la mobilité partagée y seront présentées aux visiteurs de la plus grande manifestation du pays. De quoi démontrer une fois encore que FEBIAC, organisatrice de la manifestation, est bien décidée à promouvoir ces nouveaux concepts de mobilité douce et/ou partagée. L’édition 2020 de #WeAreMobility regroupe une trentaine d’exposants qui sont réunis autour d’une piste d’essai qui permet au public de se familiariser avec le maniement de ces solutions de mobilité telles que les trottinettes électriques, vélo électriques, steps et monoroues. Des engins qui sont alimentés par une borne de recharge développée spécifiquement par Febelauto à partir de batteries de voitures électriques reconditionnées. Par ailleurs, des ambassadeurs de #WeAreMobility proposent aux visiteurs du Brussels Motor Show de participer à un ‘Mobility Scan’ qui les sensibilisera sur la manière avec laquelle ils envisagent leurs déplacements. De quoi, à coup sûr, susciter une saine réflexion sur ce sujet. Enfin, une nouvelle édition de #WeAreMobility Talks est programmée le jeudi 16 janvier et aura pour thématique le changement actuel que vit le secteur de la mobilité, et plus particulièrement les opportunités et les dangers que ces changements représentent pour les acteurs actuels de ce secteur. Exposants : Ahooga Bike – Blue Corner – BMX Mobile – Circ – E-4 Move Belgium – Europcar Scooty – Interparking – Febelauto – KBC – Lab Box – Lease a bike – Mobility Bootik – Modalizy – P&V Assurances / Verzekeringen – Pasha Parking – Poppy – Skipr – Shell New Motion – Solar Team – Start2Ride – Stigo – Swapfiets – Touring – VIAS – Vitae Mobility – #WAM Data – Zappi Benelux Internet : wearemobility.be
- VALÉRIE BOUCHER
- BOZAR présente une grande rétrospective de l’artiste américain légendaire, Keith Haring. Ami et compagnon d’art à la fois d’Andy Warhol et de Jean-Michel Basquiat, Keith Haring manifesta une présence unique dans le New York des années 1980, jouant un rôle clé dans la contre-culture et créant un style immédiatement reconnaissable. Surtout célèbre pour ses motifs iconiques − chiens aboyeurs, bébés rampants et soucoupes volantes −, Haring cherchait à faire œuvre d’« art public » qu’il diffusait à travers son Pop Shop, les médias ou encore dans les métros et les espaces urbains collectifs. Puisant ses influences dans l’expressionnisme abstrait, le pop art, la calligraphie japonaise ou les travaux des grapheurs new-yorkais, son style singulier, en apparence spontané, était tout autant traversé par les énergies de son époque, du voyage dans l’espace au hip-hop et aux jeux vidéo. Une œuvre puissante, qui n’a rien perdu de son actualité. Organisé par la Tate Liverpool en collaboration avec BOZAR/Palais des Beaux-Arts de Bruxelles et le Musée Folkwang, Essen. Infos pratiques: BOZAR/Palais des Beaux-Arts Rue Ravenstein 23 1000 BRUXELLES Heures d'ouverture Mar - Dim, 10:00 - 18:00 Jeu, 10:00 - 21:00 Fermé le lundi
- YAEL LANDMAN
- C.A.R.E. Community Awareness Resilience Education Le BESC a créé un nouveau programme de sensibilisation à la sécurité : C.A.R.E. est un programme qui permet d’augmenter la résilience et de susciter la prise de conscience de chaque citoyen. A l’aide d’outils très simples à comprendre et utiliser, nous vous donnons la capacité d’identifier un danger et d’y répondre de façon appropriée, chacun en fonction de ses moyens. De nos jours, n’importe qui peut être une cible, n’importe qui peut être un attaquant, chacun doit pouvoir assurer sa protection et celle de son entourage. Il n’est plus possible de se reposer uniquement sur les forces de l’ordre et sur les gardes. Nous croyons fermement que ‘Knowledge is power’, c’est pourquoi nous avons décidé d’offrir un programme adapté sur mesure pour chaque groupe de notre communauté : adultes, enfants, adolescents, étudiants, membres de la communauté religieuse... Ces sessions de +/- 1h30h offertes par le BESC, couvrent des sujets tels que : • Identifier un objet/comportement suspect • Comportement à adopter en cas d’attaque • Comment protéger vos enfants • Comment surfer en toute sécurité sur le web • Des sessions de ‘self defense’ adaptées à tout public • En collaboration avec le Magen David Adom : les gestes qui sauvent juste après un incident grave. A travers C.A.R.E., notre objectif est que chaque membre de la communauté aura développé une compréhension instinctive du ‘security awareness’ (sensibilisation à la sécurité), sachant identifier et répondre à une activité suspecte ou une attaque Chaque membre de la communauté se sentira renforcé et rassuré par les connaissances acquises au cours du programme.