BRLAN-S2EP22
- INTRO
- Brigitte Weberman et sa team de chroniqueurs sont en studio ce soir pour votre plus grand plaisir. Au programme Sarah Halfin nous présentera son chronique "#SarahHalfinChallenge" Valérie Boucher nous parlera de l'exposition « chiharu Shiota" aux musées royaux des beaux arts ANNE SCHIFFMANN ET CHERGUI KHARROUBI nous présenteront leurs documentaire "L'école du changement" FELIX RADU, nous parlera de son spectacle Martine T Jampens, présidente de l’ABR-BVI nous présentera l'association RAPHAËL LAHAYE nous parlera de Taglit SOPHIE COUROUBLE ET CYPRIEN AMELOOT nous raconteront leur livre "La magie de la fermentation - des microbes dans mon assiette!" STEPHANE VANDENPARRE nous parlera de sa chocolaterie Nehama Tawil, pour les deux conférences à Shabbath Marion Min nous présentera son agence gravity L'humouriste Kody nous parlera des Magritte et de son actualité On se retrouve dès ce soir de 18h30 à 20h sur Judaïca 90.2 fm. Nous sommes aussi comme chaque semaine, en rediffusion le jeudi de 10.30 à midi.
- ANNE SCHIFFMANN ET CHERGUI KHARROUBI
- L'école du changement - Anne Schiffmann et Chergui Kharroubi De plus en plus de voix s’élèvent pour penser l’école autrement. En septembre 2017, des professeurs passionnés ont réalisé leur rêve en ouvrant deux nouvelles écoles secondaires publiques à pédagogies actives, L’Ecole Secondaire Plurielle Maritime à Molenbeek et le Lycée Intégral Roger Lallemand à Saint- Gilles. Deux écoles bruxelloises qui, chacune à leur manière, bous- culent les codes de l’école traditionnelle. Deux écoles où les élèves sont acteurs de leur scolarité et où l’on fait le pari que l’autonomie, la citoyenneté, la bienveillance et la mixité sociale redonnent du sens à l’enseignement. Deux écoles où professeurs et élèves construisent ensemble un projet audacieux qui cultive le plaisir d’apprendre. Le temps d’une année scolaire, ce film part à leur rencontre. Le documentaire suit en parallèle la deuxième année scolaire de ces deux écoles novatrices où l’on rencontre des professeurs et des élèves réunis autour du plaisir d’apprendre et de transmettre et qui construisent ensemble un projet audacieux.
- FELIX RADU
- Son humour scintille de trouvailles, son attention soutenue du monde qui l’entoure, ses lectures scolaires et personnelles l’inspirent. Dès lors, le verbe de Félix Radu s’anime et ses mots « s’improsent ». L’humour devient pour lui un virus aux allures tantôt poétiques, tantôt acerbes. Par son talent bluffant, il conjugue et marie les mots avec une belle aisance. Laissez-vous emporter par son langage et son jeu de scène et la magie opérera. Théâtre des Mathurins 6 Rue des Mathurins, 75008 Paris
- MARTINE T JAMPENS
- Martine T Jampens, présidente de l’ABR-BVI Déclaration ABR-BVI sur la nouvelle législation facturation et recouvrement. Lutter contre l'endettement excessif des consommateurs en régulant les coûts des retards de paiement et en alignant les conditions de paiement des particuliers sur celles des entreprises : tels sont les deux principaux objectifs des différents textes juridiques approuvés. La législation vise notamment à modifier la loi du 20 décembre 2002 sur le recouvrement à l'amiable des dettes des consommateurs par les sociétés de recouvrement, les huissiers de justice et les avocats, ainsi qu'un certain nombre de dispositions du Code de droit économique relatives aux intérêts moratoires et à la compensation pour non-paiement d'une facture. L’ABR-BVI, l'Association belge des sociétés de recouvrement de créances, voit un certain nombre de points de force dans le projet de loi. "Ces évolutions garantissent la protection des consommateurs et établissent un équilibre entre les différents acteurs du marché du recouvrement », explique Martine T'Jampens, présidente de l'association. La Fédération se réjouit donc que sa voix ait été entendue en phase préparatoire pour la nouvelle législation. L’ABR-BVI n'a aucun problème avec l’encadrement des frais et le contrôle par le SPF Economie pour tous les acteurs du marché. Toutefois, l'ABR-BVI souligne que les coûts exagérés évoqués dans les textes sont bien souvent facturés lors de la phase judiciaire. Mais cette phase du process est hors du champ d’application de la présente proposition, c'est donc une occasion manquée L’ABR-BVI regrette également que le recouvrement amiable des dettes des consommateurs ne soit pas obligatoire en tant que première étape du processus de recouvrement tant pour le secteur privé que pour le secteur public. ABR-BVI est convaincu que le recouvrement amiable, par opposition au recouvrement judiciaire, est le meilleur moyen de limiter et de retarder l'escalade des coûts. L’ABR-BVI n'est pas non plus favorable au délai de 30 jours avant que des frais supplémentaires puissent être facturés pour les dettes des consommateurs. Les défauts de paiement provoquent des dommages aux entreprises et doivent être évités autant que possible. Dans le cas des dettes B2B, un délai de paiement de 30 jours est compréhensible, étant donné que l'acheteur est souvent ici un revendeur qui doit pouvoir générer un revenu en revendant le produit au client final. Un délai de paiement plus long est donc tout à fait justifié ici. L'Association belge des sociétés de recouvrement de créances (ABR-BVI) est la seule association professionnelle nationale dans notre domaine; elle regroupe les plus importantes agences de recouvrement actives en Belgique. Tous les membres sont des professionnels du secteur, sélectionnés sur la base de la confiance qu'ils inspirent au quotidien pour la qualité de leur travail. Ils répondent à des exigences strictes en termes de structure, de liquidité et de solvabilité, et respectent un code de conduite strict
- RAPHAËL LAHAYE
- TAGLIT Rafting sur le Jourdain, Baignade à la Mer Morte et à Tel Aviv, Visite de la vieille ville et du Kotel à Jérusalem, Ballade en chameaux et nuit chez les bédouins dans le Negev... Le programme s'annonce vraiment top! 10 jours de voyage en demi-pension en Israël offert par Taglit, la seule condition: avoir entre 18 et 26 ans (et avoir min un grand-parent, paternel ou maternel, juif); Les vols depuis Bruxelles sont bien entendus compris dans l'offre et les participants peuvent choisir de postposer leur retour en ne payant que la différence du prix du billet à la date qu'ils souhaitent...
- SOPHIE COUROUBLE ET CYPRIEN AMELOOT
- La magie de la fermentation - des microbes dans mon assiette!" Livre Des microbes dans nos assiettes? Oui! Il est temps de réhabiliter ces «petites vies» sans lesquelles notre alimentation et nous-mêmes ne serions rien. Les aliments fermentés, et les micro-organismes qui les ont produits, sont partout. Ils nous entourent depuis des millénaires, pour notre plus grand bien car la fermentation permet la conservation et la transformation des aliments afin de les rendre assimilables par notre organisme et d’en améliorer les bienfaits nutritifs. Continuons d’en profiter ! Choucroutes, kimchi, curtido, piccalilli, miso... cet ouvrage propose des RECETTES originales, simples, saines et non énergivores pour nous familiariser avec la technique de la fermentation. Un premier pas vers la reprise en main de notre alimentation, face aux dérives de l’industrie agroalimentaire. Laissons-nous entraîner dans cette aventure intérieure pour appréhender les milliards de bactéries qui nous habitent et mieux comprendre leurs rôles dans notre corps, cet écosystème complexe. Les bactéries qui peuplent notre intestin influencent notre comportement, et l’amélioration du lien social passe aussi par notre alimentation. Heal yourself, heal the world! Auteurs Convaincus que la fermentation est une voie vers une alimentation saine et savoureuse, Sophie Courouble et Cyprien Ameloot ouvrent en 2017 le restaurant Mile End à Bruxelles qui a pour vocation de la remettre au goût du jour. Comment vous est venu l'idée de vous intéressée à la fermentation ? Dans votre livre, vous expliquez que la fermentation est autour de nous depuis des années et même au quotidien, mais pourquoi généralement nous avos tendance à voir la fermentation comme quelque chose de vieillot et ne peut attractif?
- SARAH HALFIN
- Le #SarahHalfinChallenge Qui a été infecté par le nouveau virus qui sévi sur les réseaux sociaux ? Vous savez, celui dont le symptôme quand on l’attrape est de vouloir se scinder en quatre. Attention à vous, il est manifestement très viral. On lui a donné le nom de « Dolly Parton Challenge », d’après la célèbre chanteuse de country qui en a été la 1ère infectée. La semaine passée, elle publiait 4 photos d’elle, libellées chacune du nom d’une app différente : LinkedIn, FB, Instagram, Tinder. Décidément, elle est tout ça à la fois : femme fatale, femme casual, business woman. Une manière de dire avec humour que les réseaux sociaux ne reflètent pas la réalité, puisque selon le canal choisi, des parts de nous diamétralement opposées y sont exposées. Regardez tous, je suis au moins 4 ! Sous n’importe laquelle de ces images prise séparément, on aurait tout aussi pu indiquer le slogan « ceci n’est pas moi ». Magritte nous avait déjà mis en garde avec sa trahison des images. « Ceci n’est pas une pipe ». Un même message, deux artistes, deux époques. Pour illustrer leur point, il y a aussi l’allégorie du dessin animé, vous la connaissez ? Les images qui le constituent sont dessinées une par une, mais c’est seulement leur enchaînement continu qui donne vie et âme à la création. Aucune d’elles prises séparément ne véhicule une quelconque profondeur ou intériorité. Et celle des tableaux de Soulages, vous la connaissez ? Pour les décrire, on dit souvent qu’ils sont tout noirs, alors qu’ils ne parlent en fait que de lumière. Lumière reflétée qui n’est jamais la même selon l’endroit de la pièce où l’on se trouve, l’heure du jour, l’ombre des spectateurs présents… Tout ça pour dire que, comme nous, ils sont ainsi une continuité qu’on ne peut pas divisé ni en 4, ni en 100.000. Aussi, j’ai réfléchi à un autre challenge pour défende la même cause. J’ai pris le problème dans l’autre sens, vous allez me dire ce que vous en pensez. Humblement, appelons-le le #SarahHalfinChallenge, on ne sait jamais qu’il se propage. Il m’a été inspiré ce weekend alors qu’il me fallait écrire quelques lignes sur ma grand-mère qui vient de nous quitter. J’ai réalisé qu’il était effectivement impossible de rendre compte de sa multiplicité au moyen de photos et d’adjectifs figés. En revanche, il m’est apparu que tout pouvait être résumé dans un petit détail. Petit mais costaud, et surtout, constant. Constant dans le temps, les situations, les lieux, l’humeur du jour. Un détail qui contentait à lui seul… le tout. Le voici : même seule dans sa chambre, ayant oublié depuis longtemps jusqu’aux prénoms de ses enfants, sa tête ne reposait jamais sur l’appui-tête de son fauteuil. 5 bons centimètres les séparaient en permanence. 5 bons centimètres de rien, qui en disent plus qu’une biographie entière. Comme ces mots que seul le silence peut faire entendre. Au cinéma, on appelle ça des sous-textes. Ce qui est vraiment dit, sans texte ou au dépit du texte. Dans ces 5 centièmes de vide constant, un résumé de son caractère, de son histoire et de sa force. Puisque les réseaux sociaux sont par nature figés, ils seraient cette fois pour le coup un support adapté. Adapté pour exposer un tel détail, permanent dans l’impermanence, et qui par là-même, révèle notre essence. Après la célébration de nos accomplissements, voici venu le temps de celle de notre quintessence. Si #SarahHalfinChallenge un jour il y a, il consisterait pour chacun à trouver une image qui contiendrait ce petit détail (qui lui est propre), puis de la poster en indiquant bien que : « tout le reste n’est que détail ».
- STEPHANE VANDENPARRE
- NEHAMA TAWIL
- Nehama Tawil, pour les deux conférences à Shabbath
- DAVID MILEIKHOWSKI
- Expo
- MARION MIN
- gravity influencer marketing agency
- VALERIE BOUCHER
- l’expo de chiharu Shiota qui se déroule aux musées royaux des beaux arts CHIHARU SHIOTA, Me Somewhere Else » 09/02/2020 Les installations spectaculaires de Chiharu Shiota (Osaka, 1972) transforment les espaces dans lesquels elles se déploient, et immergent le visiteur dans l’univers de l’artiste. Elles associent des matières textiles telles que la laine et le coton à différents éléments, formes sculptées ou objets usagés. L’artiste combine performances, art corporel et installations dans un processus qui place en son centre le corps. Sa pratique artistique protéiforme explore les notions de temporalité, de mouvement, de mémoire et de rêve et requièrent l’implication à la fois mentale et corporelle du spectateur. La participation très remarquée de Chiharu Shiota à la Biennale de Venise, où elle représentait le Japon en 2015, a confirmé l’envergure internationale de son travail. Présentée dans la salle Bernheim, Me Somewhere Else (2018), œuvre d’une grande force visuelle, occupe une place bien particulière dans la production de l’artiste. Elle évoque en effet sa lutte contre la maladie, et la certitude que son esprit survivra à son corps. « Before I was diagnosed with cancer I thought that if I die everything about me is going to die, I am going to die, but now I know only my body dies – not my mind. My mind remains somewhere else. », explique Chiharu Shiota. Informations pratiques : Rue de la Régence, 3 1000 Bruxelles Horaires :Tous les après-midi de 10h00 > 17h00. Wk 11>18h Fermé le lundi 2. ANGEL VERGARA, From Scene to Scene L’association Les Amis des Musées (Become a Friend) ont acquis une installation de l’artiste Angel Vergara pour en faire don aux Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique. Cette installation est composée de cinq « films peints » de grand format évoquant le séjour de Charles Baudelaire à Bruxelles en 1864. Le célèbre poète y donna cinq conférences où il défendit notamment sa conception de la modernité à travers des lectures de textes, de poèmes et des improvisations. "Les cinq tableaux qui constituent cette proposition s’inscrivent tout naturellement dans la continuité d’une démarche qui traverse l’ensemble de mon travail. Les images qui animent en partie ces tableaux/écrans sont pour certaines prélevées dans des films ou des documents filmés existants, pour les autres directement tournées par mes soins." "À l’origine de ce projet, les cinq conférences de Charles Baudelaire données à Bruxelles en 1864, quelques années avant sa mort, et consacrées à Eugène Delacroix, à Théophile Gauthier et à certains aspects des « Paradis artificiels » …" "Ce point d’accroche est le fil conducteur qui m’a permis d’imaginer, en écho, une association presque naturelle à Marcel Broodthaers, aux relations que ces deux « visionnaires » de la modernité entretenaient à la littérature et à l’art, à l’écriture journalistique, au discours critique et bien sûr à Bruxelles. À l’esquisse de ces deux figures importantes viennent s’ajouter des références mêlant mes propres expériences et des images issues de la culture populaire. Ainsi les sources les plus diverses – interviews télévisuelles, extraits de dessins animés ou images d’un célèbre festival pop – se proposent d’alimenter et de perturber un rapport trop évident au cadre de départ pour le nourrir de ces écarts." "Il n’y pas ici la volonté affirmée d’une installation, d’un ensemble indissociable, mais l’exposition de cinq peintures, dont les particularités tiennent surtout à la technologie utilisée. Portrait, allégorie, paysage, références historiques et thématiques sont abordés et, d’une certaine manière, renvoient à des paradigmes traditionnels de la peinture." "Cette manière de travailler donne à ces œuvres une temporalité particulière due à l’incessante réactualisation des formes qui viennent se déployer à la surface de chacune d’entre elles et dont les propositions pourraient varier à l’infini. Chacun de ces tableaux joue sa propre partition mais ouvre aussi à une possible vision d’ensemble, à un jeu de « correspondances » dans lequel les images et les formes peuvent se répondre et dialoguer. Ainsi, de tableau en tableau, par rebonds successifs, s’animent les films d’une peinture en action, en cinq actes, comme autant de conférences dont l’objet principal serait la peinture et elle seule." 3. Love.Hate.Debate. Start a conversation with the ING Collection Start a Conversation with the ING Collection. Ceci n’est pas une exposition. Et vous n’êtes pas un simple visiteur. Vous êtes invité dans un espace ouvert à l’art et l’œuvre d’art n’existe que par vos yeux. Face à une œuvre, il se peut que vous éprouviez un coup de cœur ou, au contraire, qu’elle vous choque, qu’elle vous contrarie, qu’elle vous déplaise. L’exposition « Love.Hate.Debate. Start a conversation with the ING Collection » vous pousse à explorer votre ressenti par rapport à l’art et à dépasser vos premières impressions en laissant la place au questionnement. Avec l’œuvre, avec soi et avec le monde qui nous entoure. Pourquoi cette œuvre me parle-t-elle plus qu’une autre ? C’est beau, mais pourquoi ? Qu’aurait voulu dire l’artiste ? Venez découvrir une soixantaine œuvres d’art de la collection ING qui sont exposées au travers d’un parcours innovant qui tient lieu de départ pour une conversation et une réflexion. Un programme Off est mis en place pour vous aider à rentrer en dialogue avec nos œuvres. Cet événement de taille pour ING a donc pour but d’inviter à la découverte de l’art contemporain, de rendre l’art accessible à tous, selon l’esprit originel du Baron Léon Lambert, collectionneur et fondateur de la collection belge ING. Gratuit pour tous les clients ING. Info pratiques : 15 mars 2020 ING Art Center Place Royale 6 à 1000 Bruxelles Tous les jours de 10:00 >18:00
- KODY
- La 10ème Cérémonie des Magritte du Cinéma récompensera les talents du cinéma belge le samedi 1er février 2020 au SQUARE à Bruxelles. Cette cérémonie sera retransmise en direct sur La Deux (RTBF). L’Académie André Delvaux a dévoilé aujourd'hui les nominations pour les prochains Magritte du Cinéma, en présence de Kody, maître de cérémonie de cette 10ème édition.